Publicada em sete volumes entre 1710 e 1746, Miscellanea Berolinensia foi o principal jornal da Academia de Berlim, cuja fundação se deve ao próprio Leibniz em 1690, a dissolução da Societas ocorreu em 1744. A nova instituição, a Académie Royale des Sciences et Belles-Lettres de Prusse, conseguiu a Societas, e a Miscellanea Berolinensia foi sucedida pelo Berlim histoire et mémoires em 1745/46.

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Au terme de son voyage a Paris, Leibniz consacre plusieurs manuscrits au nouveau calcul des probabilites en plein essor. Parallelement aux recherches theoriques (sur le probleme des des, le probleme des partis, l'esperance mathematique), l'analyse des jeux a la mode (le quiquenove, la bassette, le solitaire) puis de l'esperance de vie nous revelent que le point de vue n'est pas ici celui d'un mathematicien mais d'un logicien et, avant la lettre, d'un theoricien des jeux. Dans les vingt et un (...) textes que rassemble ce volume, la logique de l'erreur se mele a quelques grandes lecons philosophiques sur le hasard, toujours seulement apparent. (shrink)

Jean-Marc Rohrbasser propose une version française de la biographie post mortem de Gottfried Wilhelm Leibniz (1646-1716) rédigée par le philosophe allemand Christian Wolff (1679-1754), et originellement publiée dans les Actes des Savants (Acta Eruditorum) de juillet 1717. Cette version française a été établie à partir de la traduction allemande que l'on trouve dans le volume 21 des Oeuvres complètes de Wolff.

Le Discours de métaphysique de 1686 offre, dans la densité de son texte, une synthèse de réflexions jusqu'alors dispersées. Par lui-même, il constitue un exposé d'ensemble - le premier en date et sans nul doute l'un des plus complets - où se trouve ramassée en formules singulièrement fortes une doctrine que reprendront bientôt d'innombrables opuscules et qui inspirera plus tard les grandes œuvres de la vieillesse : il en présente, sous une forme serrée, tous les thèmes essentiels. De 1686 à (...) 1690, il se prolonge par une série de lettres, quelquefois fort longues et toujours très riches, dont le but immédiat est de répondre à quelques objections d'Arnauld, mais dont le développement donne occasion à des reprises ou à des commentaires d'une importance majeure : rien n'éclaire de façon plus profonde l'ouvrage lui-même. On ne peut comprendre le Discours de métaphysique, dans toute sa richesse et sa plénitude, qu'à condition de ne pas le séparer de la Correspondance qui lui fait suite. (shrink)

Discours de métaphysique et Monadologie sont parmi les plus célèbres opuscules de Leibniz. Le premier (fin 1 685-début 1686) marque le moment où le philosophe se déclare " satisfait " sur les questions fondamentales ; vingt-huit ans après, le second semble réunir les éléments d'un ultime bilan. Entre les deux textes, demeurés inédits du vivant de l'auteur qui ne leur a pas même donné le titre sous lequel la postérité les a retenus, il est d'usage commun d'identifier un seul (...) et même système, tel qu'en lui-même : l'architecture globale demeurant identique (Dieu est le créateur ; corps, âmes et esprits sont hiérarchiquement ordonnés ; nulle interaction causale physique entre les êtres), seuls différeraient le vocabulaire et les points de vue. Or, montre Michel Fichant, s'il n'y a pas équivalence dans la terminologie, c'est qu'il n'y en a pas non plus dans la signification des concepts fondamentaux : la " substance individuelle " du Discours n'est pas la monade. C'est donc la genèse et l'élaboration de la métaphysique leibnizienne qu'il nous donne à voir dans cette édition inédite, où d'autres textes et des lettres mettent en perspective les deux opuscules majeurs. (shrink)

Cette édition numérique a été réalisée à partir d'un support physique, parfois ancien, conservé au sein du dépôt légal de la Bibliothèque nationale de France, conformément à la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012 relative à l'exploitation des Livres indisponibles du XXe siècle. Pages de début Introduction 1 - Mise en scène 2 - La déclinaison de la lettre 3 - Pause : par où commencer? 4 - Plaisirs d'amour... 5 - Naissances 6 - Chutes 7 - La lettre (...) de la déclinaison 8 - Discrétion 9 - Lucrèce selonl'ordre des raisons Conclusion Appendice Pages de fin. (shrink)

Le corps entier des sciences peut estre consideré comme l’ocean, qui est continué partout, et sans interruption ou partage, bien que les hommes y conçoivent des parties, et leur donnent des noms selon leur commodité. Et comme il y a des mers inconnues, ou qui n’ont esté navigeés que par quelques vaisseaux que le hazard y avoir jettés: on peut dire,[10] de même qu’il y a des sciences dont on a connu quelque chose par rencontre seulement et sans dessein. L’art (...) des combinaisons est de ce nombre; elle signifie chez moy, autant que la science des formes ou formules ou bien des variations en general. En un mot, c’est la Specieuse universelle ou la Characteristique. De sorte qu’elle traite de eodem et diverso; de simili et dissimili; de absoluto et relato; comme la Mathematique ordinaire traite de [15] uno et multis, de magno et parvo, de toto et parte. On peut même dire que la Logistique ou bien l’Algebre luy est sousordonnée en un certain sens. Car lorsqu’on se sert de plusieurs notes indifferentes, ou qui au commencement du calcul pouvoient estre echangées et substituées mutuellement sans faire tort au raisonnement, en quoy les lettres d’Alphabet sont fort propres; et lors que ces lettres ou notes signifient des grandeurs, ou [20] des nombres generaux, il en vient l’Algebre ou plus tost la Specieuse de Viete. Et c’est justement en cela que consiste l’avantage de l’Algebre de Viete et de Descartes sur celle des anciens, qu’en se servant des lettres au lieu des nombres tant connus, qu’inconnus, on vient a des formules, ou il y a quelque liaison et ordre, qui donne moyen à nostre esprit de. (shrink)

Le corps entier des sciences peut estre consideré comme l’ocean, qui est continué partout, et sans interruption ou partage, bien que les hommes y conçoivent des parties, et leur donnent des noms selon leur commodité. Et comme il y a des mers inconnues, ou qui n’ont esté navigeés que par quelques vaisseaux que le hazard y avoir jettés: on peut dire,[10] de même qu’il y a des sciences dont on a connu quelque chose par rencontre seulement et sans dessein. L’art (...) des combinaisons est de ce nombre; elle signifie chez moy, autant que la science des formes ou formules ou bien des variations en general. En un mot, c’est la Specieuse universelle ou la Characteristique. De sorte qu’elle traite de eodem et diverso; de simili et dissimili; de absoluto et relato; comme la Mathematique ordinaire traite de [15] uno et multis, de magno et parvo, de toto et parte. On peut même dire que la Logistique ou bien l’Algebre luy est sousordonnée en un certain sens. Car lorsqu’on se sert de plusieurs notes indifferentes, ou qui au commencement du calcul pouvoient estre echangées et substituées mutuellement sans faire tort au raisonnement, en quoy les lettres d’Alphabet sont fort propres; et lors que ces lettres ou notes signifient des grandeurs, ou [20] des nombres generaux, il en vient l’Algebre ou plus tost la Specieuse de Viete. Et c’est justement en cela que consiste l’avantage de l’Algebre de Viete et de Descartes sur celle des anciens, qu’en se servant des lettres au lieu des nombres tant connus, qu’inconnus, on vient a des formules, ou il y a quelque liaison et ordre, qui donne moyen à nostre esprit de. (shrink)

Le corps entier des sciences peut estre consideré comme l’ocean, qui est continué partout, et sans interruption ou partage, bien que les hommes y conçoivent des parties, et leur donnent des noms selon leur commodité. Et comme il y a des mers inconnues, ou qui n’ont esté navigeés que par quelques vaisseaux que le hazard y avoir jettés: on peut dire,[10] de même qu’il y a des sciences dont on a connu quelque chose par rencontre seulement et sans dessein. L’art (...) des combinaisons est de ce nombre; elle signifie chez moy, autant que la science des formes ou formules ou bien des variations en general. En un mot, c’est la Specieuse universelle ou la Characteristique. De sorte qu’elle traite de eodem et diverso; de simili et dissimili; de absoluto et relato; comme la Mathematique ordinaire traite de [15] uno et multis, de magno et parvo, de toto et parte. On peut même dire que la Logistique ou bien l’Algebre luy est sousordonnée en un certain sens. Car lorsqu’on se sert de plusieurs notes indifferentes, ou qui au commencement du calcul pouvoient estre echangées et substituées mutuellement sans faire tort au raisonnement, en quoy les lettres d’Alphabet sont fort propres; et lors que ces lettres ou notes signifient des grandeurs, ou [20] des nombres generaux, il en vient l’Algebre ou plus tost la Specieuse de Viete. Et c’est justement en cela que consiste l’avantage de l’Algebre de Viete et de Descartes sur celle des anciens, qu’en se servant des lettres au lieu des nombres tant connus, qu’inconnus, on vient a des formules, ou il y a quelque liaison et ordre, qui donne moyen à nostre esprit de. (shrink)

Vorwort, von R. Loosen und F. Vonessen.--Leibniz und das binäre Zahlensystem, von F. Vonessen.--Das Geheimnis der Schöpfung; Neujahrsbrief an Herzog Rudolph August von Braunschweig-Lüneburg-Wolfenbüttel, von G. W. Leibniz.--Leibniz und die chinesische Philosophie, von R. Loosen.--Lettre sur la philosophie chinoise à Nicolas de Remond. Abhandlung über die chinesische Philosophie. Von G. W. Leibniz. Anhang: Anmerkungen, Abkürzungen (bibliographical: p. [133-153]--Nachwort: Zur fünftausendjährigen Geschichte des binären Zahlensystems: Fuh-Hi, G. W. Leibniz, Norbert Wiener, von J. Gebser.

Dans l'immense correspondance de Leibniz son échange épistolaire avec Goldbach occupe une certaine place. 4 lettres de Leibniz à Goldbach ont été publiées à son temps par Ch.G.W. Kortholt dans les deux premiers volumes de Leibnitii Epistolae ad diversos (t. I-IV, Lipsiae, 1734-1742) et rééditées par L. Dutens (Leibniz: Opera omnia, t. 3 et 5, Genevae, 1768). Récemment on a découvert 6 lettres de Goldbach à Leibniz conservées aux Archives Centrales d'Etat des Actes Anciens (...) (= ACAA) à Moscou et encore un extrait de lettre de Leibniz à Goldbach à Hannover. Cela fait, pris ensemble, une jolie collection de 11 lettres dont la traduction russe fut publiée en 1983. Nous en présentons maintenant le texte original latin avec une brève introduction et des notes. Une lettre, comme on va voir, y manque. (shrink)

Un passage biffé d’une lettre à Antoine Arnauld du 14 janvier 1688 rappelle un projet ancien chez Leibniz, celui d’augmenter l’extension de la logique démonstrative. Il écrit : « votre Art de penser contient déjà de belles méditations, qu’on peut augmenter et pousser plus avant ». Le compliment est évidemment fort ambigu, et rappelle la fonction que Leibniz donne parfois à des auteurs appartenant grosso modo au même espace intellectuel que Descartes ou Pascal, c’est-à-dire celle d’avoir comme...

In August 1712 A. L. Königsmann sent to Leibniz a copy of his dissertation De rationali metaphysices cultu together with a letter. In his answer to Königsmann Leibniz underlines, firstly, his rationalistic opinion on the relationship between natural and revealed theology and, in second place, his moderate position regarding the anti-Scholastic polemics. Leibniz's letter, till now unpublished, has been edited and annexed at the bottom of the article.

What does it mean to be disadvantaged? Is it possible to compare different disadvantages? What should governments do to move their societies in the direction of equality, where equality is to be understood both in distributional and social terms? Linking rigorous analytical philosophical theory with broad empirical studies, including interviews conducted for the purpose of this book, Wolff and de-Shalit show how taking theory and practice together is essential if the theory is to be rich enough to be applied (...) to the real world, and policy systematic enough to have purpose and justification. The book is in three parts. Part 1 presents a pluralist analysis of disadvantage, modifying the capability theory of Sen and Nussbaum to produce the 'genuine opportunity for secure functioning' view. This emphasises risk and insecurity as a central component of disadvantage. Part 2 shows how to identify the least advantaged in society even on a pluralist view. The authors suggest that disadvantage 'clusters' in the sense that some people are disadvantaged in several different respects. Thus identifying the least advantaged is not as problematic as it appears to be. Conversely, a society which has 'declustered disadvantaged' - in the sense that no group lacks secure functioning on a range of functionings - has made considerable progress in the direction of equality. Part 3 explores how to decluster disadvantage, by paying special attention to 'corrosive disadvantages' - those disadvantages which cause further disadvantages - and 'fertile functionings' - those which are likely to secure other functionings. In sum this books presents a refreshing new analysis of disadvantage, and puts forward proposals to help governments improve the lives of the least advantaged in their societies, thereby moving in the direction of equality. (shrink)

A jellyfish surrounds a plastic fragment, merging the synthetic material with its body; a water agency poster warns of dangerous plastic bottle ‘fish’ in the Mediterranean; marine organisms take shelter on and under synthetic materials. These are the denizens of a growing realm marine ecologists call the ‘plastisphere’, where sea life and plastics meet. Building upon multispecies ethnography, science and technology studies interrogations of nature/culture divides and the practical work of classification, this article explores the indeterminacy – the very plasticity (...) – of the category of ‘species’ as it is engaged in seriousness and irony, with living and nonliving bodies. First, I draw on participant observation at a nonprofit marine institute laboratory in California to trace the travels of plastic-creatures through attempts to disentangle them in the pursuit of scientific knowledge. Here volunteers sort tiny plastic bits from animal ones under the microscope, enacting material boundaries as they decide what gets counted as life (not plastic) and what does not (plastic). Second, I follow movements of plastic-creatures through public education campaigns, paying particular attention to assumptions about belonging and agency enacted with assumptions about whether and when plastic-species should or should not meet. I argue that the ‘danger’ of plastic relationships lurks not in associations but in the very categories used to know and live with forms of plastic and forms of life, in the kinds of belonging that emerge with kinds of materials, and in the failure to recognize the impossibility of their separation. (shrink)

The question of why Leibniz in his last letter to Nicolas Remond interrupted the explanation of his binary system is reducible to the question of which role it actually plays in this letter. This can be answered, when the mathematical meaning of the Dyadic as well as its analogical function (as symbol of the creation) are seen in the context of the so called Chinese Rites Controversy. In this context the role of the binary system changed in Leibniz`s (...) thought. As a mathematical decoding system of the mysterious characters of the oldest Chinese Philosopher Fuxi, it got a high status in epistemological as well as historical sciences. But as a pretended deeper knowledge of a creatio ex nihilo the dyadic attained immediately an enormous missiological meaning: It witnessed no more than the existence of an original monotheism and its theology of creation in China. However, when it became evident that the decisions in Rome would cause the end of the old Jesuit-mission in China, Leibniz within the frame of the natural theology (expected in pagan and old Chinese thinking) restricted the missiological meaning to its role as natural mathematical knowledge of China in primeval times. (shrink)

A obra de Dilthey desempenha um papel fundamental para a filosofia contemporânea, na medida em que Dilthey distingue duas esferas por meio das quais temos acesso ao todo da realidade: a experiência objetiva ( die Erfahrung ) e a vivência ( das Erlebnis ). É esta distinçáo que possibilita a Dilthey, em oposiçáo às ciências da natureza, conceber as condições de evidência e validade das ciências do espírito. Ainda que náo nomeada com estes termos, esta distinçáo vai estar na base (...) dos textos de muitos autores do final do século XIX e do século XX. Conquanto Dilthey elabore sua teoria no decorrer de uma vasta obra, nosso objetivo é reconstruir a distinçáo que ele estabelece a partir do modo como ele reinterpreta o princípio de razáo suficiente, conforme formulado por Leibniz e Wolff. Também procuramos mostrar, a seguir, como esta reinterpretaçáo permite a Dilthey opor, à esfera dos conhecimentos teóricos circunscrita por Kant, a esfera dos conhecimentos relativos à vivência. Assim, o argumento principal aqui exposto estabelece um vínculo entre o modo como Dilthey reinterpreta o princípio de razáo suficiente e o modo como reconstrói cientificamente a fundamentaçáo das ciências do espírito, concebendo-as a partir de uma relaçáo específica entre evidência e validade. (shrink)

© 2017. The American Astronomical Society. All rights reserved.We present new observations of the low-mass companion to HD 984 taken with the Gemini Planet Imager as a part of the GPI Exoplanet Survey campaign. Images of HD 984 B were obtained in the J and H bands. Combined with archival epochs from 2012 and 2014, we fit the first orbit to the companion to find an 18 au orbit with a 68% confidence interval between 14 and 28 au, an eccentricity (...) of 0.18 with a 68% confidence interval between 0.05 and 0.47, and an inclination of 119°with a 68% confidence interval between 114°and 125°. To address the considerable spectral covariance in both spectra, we present a method of splitting the spectra into low and high frequencies to analyze the spectral structure at different spatial frequencies with the proper spectral noise correlation. Using the split spectra, we compare them to known spectral types using field brown dwarf and low-mass star spectra and find a best-fit match of a field gravity M6.5 ±1.5 spectral type with a corresponding temperature of K. Photometry of the companion yields a luminosity of log=2.88 ± 0.07 dex with DUSTY models. Mass estimates, again from DUSTY models, find an age-dependent mass of 34 ±1 to 95 ±4 M Jup. These results are consistent with previous measurements of the object. (shrink)

In lieu of an abstract, here is a brief excerpt of the content:The Breakdown of C i M phy " artes an eta sacs RICHARD A. WATSON WITHIN CARTESIANISMthere arose many problems deriving from conflicts between Cartesian principles. Inadequate attempts to solve these problems were crucial reasons for the breakdown of Cartesian metaphysics in the late seventeenth and early eighteenth centuries. The major difficulties derived from the acceptance of a dualism of substances seated in a system which included epistemological and (...) causal likeness principles plus an ontological framework in which the categories of substance and modification were exhaustive. The major solutions involved either denying the likeness principles or altering the ontological framework. The first led to unintelligibility ; the second, culminating in Hume, opened the way to non-Cartesian metaphysics. The first section of this study contains a characterization of late seventeenth -century Cartesian metaphysics. The second is an exposition of Foucher 's four major criticisms of this system. In the third section, monistic solutions suggested in Descartes and by Spinoza, Foucher, Leibniz, and Locke are considered; in the fourth, the dualistic solutions of the orthodox Cartesians Rohault, R~gis, Desgabets, La Forge, Le Grand, and Arnauld; and in the fifth, the occasionalist solution of Malebranche. The sixth section is an analysis of these orthodox and occasionalist solutions, showing how each ultimately fails because of dependence upon the ontology of substance and modification. The seventh section is a consideration of Berkeley and Hume in the Cartesian context. A consideration of their systems as offering solutions to Cartesian problems illuminates in new light both the systems and the problems. In broad terms, this study moves from a consideration of problems arising from an ontology of two substances, to a consideration of problems arising from the ontological pattern of substance and modification. The Cartesians were concerned with relationships between two substances, but they saw no difficulties connected with the relationship between a substance and its modifications (or properties). Berkeley's treatment (deriving from Male- [177] 178 HISTORY OF PHILOSOPHY branche) of the relationships between mind and idea, and between mind and notion, is illuminated by a consideration of the extent to which he took these relationships for granted in the Cartesian way, and of the extent to which he saw difficulties in the relationship between substance and modification. The Berkeleian solution to Cartesian problems, like that of Malebranche before him, was not successful; Malebranche belittled, and Berkeley denied the dualism of substances, but neither philosopher could break entirely with the ontological pattern of substance and modification. The final breakdown of Cartesian metaphysics came with Hume, who, in providing the culmination of a most important trend in modern philosophy, opened the way to new metaphysics and became the father of contemporary philosophy. I A model late seventeenth-century Cartesian metaphysical system. The last grand expositor of the Cartesian philosophy was Antoine Le Grand who in 1694 published An Entire Body of Philosophy. The characterization of the late seventeenth-century Cartesian system given below follows Le Grand's exposition more closely than others, but it also incorporates elements from those of Rohault, R6gis, Desgabets, La Forge, Malebranche, and Arnauld.1 None of these philosophers professed a system of exactly the sort this characterization pictures, nor is it implied here that they do. The guide and rationale for drawing from them such a model Cartesianism is the polemical writing of Simon Foucher. Foucher's series of attacks upon Cartesianism (of which the second is his criticism of Malebranche of 1675, Critique de la Rdcherche de la veritd) give clearly the most important objections against Cartesian metaphysics.2The system outlined below, while more com1Le Grand, Antoine, An Entire Body of Philosophy According to the Principles of the Famous Renate des Cartes (London, 1694); Rohault, Jacques, Traitd de physique (Paris, 1671); R6gis, Pierre-Sylvain, Syst~me de philosophie, contenant la logique, la mdtaphysique, la physique et la morale (Lyon, 1690); Desgabets, Robert, Critique de la Critique de la Recherche de la veritd, oCt l'on decouvre le chemin qui conduit aux connoissances solides. Pour servir de rdsponse gtla Lettre d'un academicien (Paris, 1675); La Forge, Louis de, Traitd de l'dme humaine, de ses facultds et fonctions et de son union avec le corps, d'apr~s les principes de... (shrink)

É amplo o estudo sobre Leibniz hoje: conhecemo-lo como o filósofo metafísico de tendências religiosas, como opositor de Descartes, como vitalista, matemático etc.; mas a pergunta que orienta nossa pesquisa busca deslindar novos horizontes: é possível encontrar elementos em sua metafísica que nos permitam pensar o cenário social contemporâneo? A partir das ferramentas conceituais criadas pelo filósofo pensamos que a resposta seja positiva.

Résumé éditeur : "Nous avons perdu les deux repères qui permettaient autrefois de nous définir entre les dieux et les bêtes. Nous ne savons plus qui nous sommes, nous autres humains. De nouvelles utopies en naissent. D'un côté, le post-humanisme prétend nier notre animalité et faire de nous des dieux promis à l'immortalité par les vertus de la technique. D'un autre côté, l'animalisme veut faire de nous des animaux comme les autres et inviter les autres animaux à faire partie de (...) notre communauté morale. Alors forgeons une nouvelle utopie à notre mesure. Ne cherchons plus à nier les frontières naturelles - celles qui nous séparent des dieux ou des animaux - et défendons un humanisme conséquent, c'est-à-dire un cosmopolitisme sans frontières.". (shrink)